Bassam pleure
Elle est présente et réelle cette douleur dans mon cœur. Je ne peux m’en défaire. Les terroristes ont frappé sur ma terre. A Bassam, cette ville, que j’affectionne tant. Je voudrais ne pas me laisser envahir par la peine, la rancœur. Je voudrais tant qu’elles n’aient pas raison de moi. Mais hélas, trop vive, l’image de ces corps sans vie gisant sur le sable. De ces personnes partageant des moments…